9.10.04

per certi reati non dovrebbe esisytere il reato di prescrizione

dopo la news( purtroppo l'edizione online del quotidiano  è a pagamento )  di repubblica   in cui si  afferma  :  1) che  la  germania   ha  aperto un inchiesta   suoi  ex militari  coinvolti  nelel stragi  del 1943\45  in italia  ; 2) che  il caso di marianne  chon ( trovate  tutta la storia  , in francese  , visto  che purtroppo  non  esiste \  almeno io non  hne  ho trovato  , qui sotto  , insieme  a  la sua poesia simbolo della resistenza  francese   )   sia  vicino alla conclusione 


Dedico a  lei  e  a tutti coloro che hanno lottato per la libertà  questo post 







Je trahirai demain, pas aujourd'hui
Aujourd'hui, arrachez-moi les ongles
Je ne trahirai pas !
Vous ne savez pas le bout de mon courage.
moi, je sais.
Vous êtes cinq mains dures avec des bagues.
Vous avez aux pieds des chaussures avec des clous.
Je trahirai demain. Pas aujourd'hui,


Demain.
Il me faut la nuit pour me résoudre.
Il ne me faut pas moins d'une nuit
Pour renier, pour abjurer, pour trahir.
Pour renier mes amis,
Pour abjurer le pain et le vin,
Pour trahir la vie,
pour mourir.
Je trahirai demain. pas aujourd'hui.
La lime est sous le carreau,
La lime n'est pas pour le bourreau,
La lime n'est pas pour le barreau,
Le lime est pour mon poignet.
Aujourd'hui, je n'ai rien à dire.
Je trahirai demain


Marianne Cohn
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Photo de Marianne Cohn
Marianne Cohn




Marianne Cohn

     D'origine allemande, elle était membre de la Résistance Juive, elle sauva des enfants par des placements dans des familles françaises ou par le passage vers la Suisse. Elle était membre des Eclaireurs Israélites de France (EIF).
      La Gestapo de Lyon l'arrête, en mai 1944, près de la frontière suisse alors qu'elle tentait de faire de faire passer 28 enfants. Ces enfants là seront sauvés.
     Dans sa prison, elle écrit ce poème.
     Marianne Cohn a été longuement torturée. Elle est morte assassinée par les nazis, le 8 août 1944, à l'âge de 22 ans et son corps jeté dans la fosse commune, à Ville-la-Grand, dans l'Isère.
     Voir la stèle en son honneur, dans le récit de Serge Smulevic.


 

1 commento:

spoonriver ha detto...

Così come lei, non dobbiamo mai smettere di lottare per la libertà!