" La vita non è quella che si è vissuta, ma quella che si ricorda e come la si ricorda per raccontarla " Gabriel Garcia Márquez N.B
l'articolo è in francese perché a parte ( purtroppo a € e non free in italiano c'è solo l'articolo di " le storie dimenticate " di Pietro Mannironi sulla nuova sardegna d'oggi )
da quando ( e soprattutto ora che mi sto avvicinando ai 50 quello che dante chiama nel mezzo del cammin de nostra vita ) ho messo su il blog e poi la pagina di Facebook ad esso collegata
Ho
maturato la convinzione che il problema più grosso del camminare verso
la fine della vita non sia il morire (o la perdita della lucidità e
della consapevolezza), quanto la cancellazione della memoria, del
vissuto, delle emozioni, dei sentimenti che sono stati te stesso ben più
del corpo, dell'immagine, del fatto e del non fatto.
Per questo
motivo seguo , almeno coi provo . l'esempio di http://www.promemoria.sm/ << ho creato artigianalmente questo piccolo sito. Vi depositerò una
parte del mio pensiero, del mio vissuto, per fare memoria e dare
testimonianza di una generazione che ha vissuto trasformazioni epocali..
Sarà a disposizione di chi lo vorrà, senza particolare ansia se saranno
molti o pochi. Sapere che è a disposizione dà la sensazione di morire
di meno.>> quindi se qualcuno volesse interloquire mi farebbe comunque cosa gradita attraverso i miei social facebook twitter l' e-mail o anche attraverso il blog . Infatti ci sono storie condannate a perdersi tra le pagine infinite del tempo . Storie di donne e uomini che svaniscono nella memoria collettiva, portandosi dietro il loro pesante fardello di dolore e speranza , di volti e di di parole , di sofferenza e di rinascita. Vicende che nel bene e nel male non meritano d'essere dimenticate . Alcune sono rimaste ( e credo rimarranno ) orfane di una risposta di giustizia e quindi quindi senza poter offrire una consolazione possibile . Anche perchè , ora che la polvere delle emozioni si è posata , meritano d'essere riviste ( come il caso sotto riportato ) con più serenità , fuori dalla prigione dei fondamentalismi e mitizzazioni , non deformate agli occhiali ideologici . Ed altre semplicemente perchè è importante ricordarsi di ricordare . Perchè : << le cose si scoprono attraverso i ricordi che se ne hanno , ricordare una cosa significa vederla ora soltanto per la prima volta >> ( Cesare Pavese ) .
André SPADA est né dans une ruelle du vieil Ajaccio le 13 février 1897 d'un père Sarde (Gavino) et d'une mère Corse (Anna-Maria BERTI) qui mit au monde neuf enfants. En 1909, la famille décide d'aller s'installer dans le CRUZZINI au village de LOPIGNA d'où Marie BERTI est originaire.
Jusqu'à l'age de 17 ans, André, que l'on décrit comme un garçon émotif et anxieux mais honnête et travailleur, va exercer avec son père le dur métier de bûcheron et de charbonnier qu'il abandonnera en 1917 pour s'engager dans l'artillerie et acquérir ainsi la nationalité Française.
Il est condamné en 1918 pour désertion en temps de guerre. Amnistié, il rengage à nouveau pour aller se battre en Syrie. A la fin de la guerre, il est libéré et rentre en Corse en mai 1921.
Sans travail, ne voulant pas reprendre le dur métier exercé par son père, André Spada postule pour un emploi de douanier mais les circonstances vont en décider autrement en faisant de ce jeune homme que rien ne prédestinait au banditisme, un des plus terribles hors-la loi que la Corse ait connu. Sa vie bascule le soir du 8 octobre de 1922 à Sari d'Orcino. Au cours de la fête patronale du village, un homme, passablement éméché, tire sans l'atteindre sur une femme qui l'aurait éconduit. Une confusion s'ensuit, les gendarmes mènent rapidement l'enquête et arrêtent quelques instant plus tard les dénommés Stephanini Toussaint et Rutili Dominique attablés en compagnie de Spada dans une buvette du village. Pour défendre son ami, Spada tire sur les gendarmes, blesse mortellement l'un d'entre eux avant de prendre le maquis en compagnie de Rutili. Rutili, dont la folie meurtrière inquiète Spada (il l'a vu tuer son propre frère), sera arrêté le 4 janvier 1924 lors de l'embuscade du Finosello, après avoir abattu ses hôtes qu'il soupçonne de trahison. Condamné à mort en février 1925, il verra sa peine commuée en travaux forcés à perpétuité. Après 27 années passées au bagne de Cayenne, il reviendra dans son village en 1952 et décèdera tranquillement en juillet 1973.
Dans le maquis, Spada, dont la tête est mise à prix, condamné à mort par contumace le 11 juillet 1925, vient d'apprendre avec consternation la condamnation à la peine capitale de son ami d'enfance. Désormais seul, il sombre dans une profonde période dépressive que viendra encore aggraver en févier l'annonce de la mort d'un autre ami, le bandit Romanetti. Son esprit semble basculer alors dans la tourmente: "C'est à ce moment là, dans ma profonde solitude que j'ai commencé à apprendre à connaître Dieu" confiera-t-il dans ses mémoires. L'amitié, mais aussi l'amour, ont orienté la destinée de ce bandit à la sensibilité à fleur de peau. C'est la soeur de François, son ami d'enfance. Elle se nomme Marie Caviglioli, elle est jolie et Spada en tombe éperdument amoureux ; Mais très vite, lassée par la tyrannie, les accès de colère et la jalousie maladive de son amant, Marie décide de le quitter et s'enfuit à Ajaccio où elle va faire la connaissance de Jacques Giocondi. En apprenant cette liaison, Spada, emporté par l'orgueil et la colère, commettra l'irréparable en abattant froidement à Poggio-Mezzana, le 9 novembre 1925 la soeur de Giocondi, agée de 22 ans, et son vieil oncle qu'il avait pris dans l'obscurité, pour Marie Caviglioli et son amant. Abattu, rongé par le remord, Spada écrira au procureur de la république pour dénoncer son crime. Cela ne l'empêchera pas cependant, de poursuivre sa carrière de bandit en se mettant en ménage à la Punta, avec l'intrigante Antoinette Leca*, la compagne de Romanetti qui vient d'être assassiné, et dont il prendra la succession. *Antoinette Leca sera par la suite jugée et condamnée à deux ans de prison et 10 ans d'interdiction de séjour par le tribunal correctionnel d'Ajaccio.
Le 23 décembre 1926, pour s'adjuger à travers un prête-nom, la concession du service postal, Spada n'hésite pas à attaquer à Saint-André d'Orcino, le fourgon qui assure la liaison Ajaccio-Lopigna, blessant le chauffeur Fanchi Delmo et deux des douze voyageurs. L'avertissement contraignit Franchi à se retirer sur Ajaccio.
Le 06 août 1927, il utilise la presse locale pour informer les gendarmes qu'il ne fera usage de son arme que s'il est "serré de près"; il ajoute : "... malgré ma répulsion, je tiens à signaler que je serais sans pitié pour quiconque, autre que les gendarmes, que je surprendrais me recherchant ou m'espionnant... ". A plusieurs reprises, Spada aura recours à la presse pour faire passer ses message et se justifier.
Le 18 mai 1930, en attaquant de nouveau ce même service postal dont la concession, arrivée à son terme, vient de faire l'objet d'une nouvelle adjudication qui échappe au contrôle du bandit. Cette fois, le chauffeur et deux gendarmes, passagers du véhicule, sont tués, un troisième gendarme est grièvement blessé. Les autres passagers prennent la fuite tandis que le fourgon postal est incendié.
L'attaque de l'auto du service postal Ajaccio-Lopigna.
Voir l'article paru dans le Petit Journal du 19 mai 1930.
A la suite de cette tragédie, le service Ajaccio-Lopigna ne sera plus assuré pendant 6 mois. En novembre 1930, Spada et sa compagne Antoinette Leca, sous le couvert d'un prête-nom, s'en adjugent à nouveau la concession.
Au mois de Février 1931, après la mort de Romanetti, Spada s'autoproclame "Roi du Palais vert" et sa notoriété attire Pathé-Journal. Moyennant une belle somme d'argent, il se laisse filmer par le cinéaste Harry Grey et raconte aux journalistes l'histoire de sa vie qui paraîtra après sa mort en 1935, dans un livre intitulé "Mes mémoires".
Spada "interviewé au maquis".
Extrait du journal l'humanité du 12 novembre 1931
Il déclare : "Moi Spada, je suis universel avant même d'être Corse [...]je ne connais que ceux qui me connaissent, les autres tant pis pour eux [...]un bandit doit faire sa réputation". Spada entretenait en effet sa réputation . A l'audience du 07 mars 1935 le président du tribunal ne manque pas de le lui rappeler: " Dans votre palais vert, vous aviez une cassette, et entassiez des caisses de liqueurs, et des paniers de champagne, dont vous régaliez cette étrangère, un peu toquée, qui était venue vous admirer dans votre repaire, et qui vous eut volontiers épousé". Cette "étrangère un peu toquée" lui offrit d'ailleurs le seul bijou (une bague ornée d'une croix d'or) qu'il posséda jusqu'à sa mort. Elle fut ensuite vendue aux enchères domaniales et adjugée au docteur François del Pellegrino, conseiller général d'Ajaccio.
Mais au mois de novembre1931, l'expédition militaire organisée par le général Fournier, contraint Spada à fuir son domaine de la Punta et de nombreuses personnes de son entourage proche ainsi qu'Antoinette Leca et son frère Jules sont arrêtés. Dès lors, privé de tous soutiens, tenaillée par la faim, dans un état mental proche de la folie (comme en témoigne ces lignes extraites d'un long courrier adressé à la presse le 05 juillet 1932 : "...Avis à tous et à la grâce de Dieu, Spada André, bandit d'honneur et de vengeance, mais non gendarme, plutôt cent mille fois la mort qu'une seule fois le déshonneur. Me voilà prêt à la paix et à la guerre, donc je suis prêt à tout. Dieu devant et ensuite je souhaite à tous ce que leur coeur désire..."), Spada va mener une vie de bête traquée avec son jeune frère Bastien qui l'a rejoint au maquis le 20 avril 1930, après avoir assassiné Jean-Ange Paoli, un ancien guide de Spada. Un matin de février 1932, après des jours de souffrance passés dans la neige et le froid, après s'être réfugié pendant plusieurs jours à Coggia dans la maison familiale, Bastien finira par se rendre et se sont ses parents qui le conduiront au cabinet du procureur de la République à Ajaccio tandis que Spada continuera à se terrer. Une importante somme d'argent sera proposée, sans succès pour sa capture.
Le 29 mai 1933, à Coggia, dans la maison de ses parents, à bout de force, sans armes, un grand crucifix de bois pendu à son cou, Spada se laisse arrêter par les gendarmes qui le conduisent à la prison d'Ajaccio. Mais son état mental préoccupant nécessite un examen psychiatrique à Marseille.
A son retour, le 29 janvier 1935, il est enfermé à la prison Sainte-Claire de Bastia dans l'attente de son procès qui aura lieu le 04 mars 1935.
L'arrestation de Spada.
Voir l'article paru dans le Petit Journal du 30 mai 1933.
A l'issue de trois jours de débats qu'il suivra avec une profonde indifférence en le ponctuant parfois de répliques théâtrales, il acceptera l'annonce de sa condamnation à mort sans manifester la moindre émotion, se contentant de conclure: "Dieu en a décidé ainsi". A l'énumération de ses crimes, Spada déclara : "Oublions le passé, Monsieur le Président"; puis il croit bon de préciser : "Vous parlez de sang ? C'est moi le responsable, un point c'est tout!".
Spada filmé au tribunal d'Ajaccio durant les débats par British movietone.
Nonobstant la personnalité du prévenu et la nature de ses crimes, on peut affirmer aujourd'hui que Spada n'a pas bénéficié d'une justice sereine et équitable. En effet, les experts psychiatriques qui procèderont à son examen, vont écrire dans un rapport insensé, rempli d'erreurs et d'incohérences, que Spada simule la folie et le déclareront pleinement responsable de ses actes. Un jugement arbitraire et expéditif qui le conduira directement à l'échafaud.
Spada, surnommé "le bandit de Dieu", le "tigre de la Cinarca" et le "sanglier" sera condamné à mort et la sentence exécutée à l'aube du 21 juin 1935.
C'est le bourreau Anatole Deibler (fils de Louis Deibler) venu spécialement de Paris avec ses deux aides, qui exécutera la sentence. Deibler aura exécuté au total 395 condamnés à mort de 1885 à 1939, dont 299 en tant qu'exécuteur en chef, de 1899 à 1939. Il meurt d'un infarctus le 02 février 1939 en allant prendre le train qui le conduit à Rennes où il doit procéder à sa 396ème décapitation.
A 4h12 du matin, le couperet de la guillotine, dressée pour la circonstance devant la prison de Bastia, tombera pour la dernière fois sur la tête d'un condamné qui aura marché vers la mort avec un courage tranquille qui ne l'a jamais abandonné un seul instant.
Personne ne réclamera le corps de Spada. Il sera enterré dans le carré des suppliciés du vieux cimetière de Bastia.
Les derniers instants de Spada
(le petit journal - Edition du 22 juin 1935).
ed in musica che concludo il post d'oggi con Les bandits d'honneur - Antoine Ciosi
Solidarancia è un romanzo su una fantomatica missione di una finta ong
L'autrice ha creato un account Twitter per presentarlo
Incredibilmente, sono arrivati diversi insulti sui social network
La realtà supera l’immaginazione. Non è soltanto un modo di dire. È esattamente quello che è successo a Solidarancia, il romanzo che Sarita Fratini ha pubblicato il 15 luglio scorso per People, la casa editrice di Pippo Civati. La storia è quella di una fantomatica ong e della sua nave improbabile – Solidarancia, appunto -, il cui equipaggio è formato da ottantenni anarco-insurrezionalisti. Il loro obiettivo è quello di svuotare un lager libico e riempirlo di arance di Sicilia.
L’incredibile caso di Solidarancia su Twitter
Per lanciare l’opera, Sarita Fratini ha pensato bene di costruire un account parodia su Twitter, dove faceva parlare i personaggi del suo romanzo. Un modo intelligente (e originale) per promuovere l’opera. Così, dal 1° luglio – giorno della fondazione dell’account – Sarita Fratini ha pubblicato dei piccoli estratti del suo libro sul social network, immedesimandosi a tal punto nella storia da iniziare a commentare anche fatti di politica italiana e attualità.Non avrebbe mai potuto immaginare che, dopo qualche giorno dall’apertura dell’account, una serie di utenti di Twitter, con un’azione coordinata e puntuale, si potesse spingere a insultare e a commentare come se Solidarancia fosse una vera ong, protagonista di una vera operazione di salvataggio nel Mediterraneo. «Chi vi paga per mettere su un carrozzone del genere?», «Perché prima di andare in Africa non pensate agli italiani?», «Ma non avete proprio niente da fare?». Non male per un account, il cui tweet più celebre è rappresentato da una finta mappa marina, con il logo di Solidarancia (proprio un’arancia di Sicilia) e una freccia direzionale disegnata a mano.
Anche oggi la nave di #Solidarancia lascia la Sicilia per andare a salvare #migranti in #Libia. Con l'intento, non secondario, di salvare anche l'umanità degli italiani.
«Avevo dichiarato sin dall’inizio lo scopo dell’account – ha affermato l’autrice Sarita Fratini, contattata da Giornalettismo -. Eppure, da qualche ora Solidarancia è bersaglio di un vero e proprio shitstorm». L’ennesimo caso, insomma, in cui sulla rete non viene percepita la distanza tra realtà e finzione. «Non capisco come sia stato possibile questo fraintendimento – ha continuato la Fratini -, anche perché è evidente che su Twitter c’è una sorta di spin-off del mio romanzo e che i personaggi che parlano sono totalmente costruiti attraverso l’immaginazione. Qualcuno, dopo aver riletto i tweet di Solidarancia, si è reso conto dell’equivoco e ha cancellato le offese. Ma io ho salvato gli screenshot». Solidarancia è un romanzo, uno dei primi pubblicati dalla casa editrice People. Si tratta di una storia che non ha peli sulla lingua: parte da una critica al governo Gentiloni e alle politiche sull’immigrazione dell’ex ministro dell’Interno Marco Minniti e arriva ai giorni nostri, ai tempi di un governo Lega-M5S. Tutti, ma proprio tutti sono parte del racconto: «Non pensavo di trovare una casa editrice disposta a pubblicare l’opera – ha chiuso Sarita Fratini -. Invece, People lo ha fatto. E sono particolarmente contenta di aver condiviso con loro questa avventura». Un libro che l’autrice definisce profetico: «Avete presente la scena in cui la capitana Carola entra in porto? È descritta pari pari nel romanzo (al suo posto la capitana 82enne Teresa). Ma io l’ho scritta un anno fa! Forse, semplicemente, il libro porta bene. Spero si avverino anche tutte le altre cose». Il viaggio della Solidarancia è destinato a continuare con il vento in poppa. E non saranno certo gli account con le bandierine tricolore a fermarlo.
(Aggiornamento del 29/7/2019, in occasione delle esequie di Mario Cerciello Rega)
Non era tutto d'un pezzo. Mario il carabiniere era un uomo tutto d'occhi. Enormi e radi, di quell'azzurro che molceva la solidità della vita. Due laghi in un volto di spianata, che sarebbero piaciuti a Pier Paolo Pasolini.
Occhi da leggere, decifrare. Non "intelligenti", vocabolo arido e volgare. Ma antichi. Incomprensibili alle menti borghesi, appiattite su una correttezza di plastica, abbacinate senza luce. Prive di senso storico, di radici.
Mario e la sua Rosa come Tonino e Graziella di "Comizi d'Amore". Come Tonino e Graziella, spietati nella loro innocenza. Ma la coscienza dell'amore, essi, l'avevano.
Erano l'Italia ancestrale e maturata. Vivevano il loro tempo, la loro fatica, la loro fiducia. L'azzurro di Mario, chissà da dove veniva. Forse semplicemente dal mare. Forse da qualche recesso pagano, baccanali tumultuanti e misterici, Grecia, Ercolano. Resi casti da lavacri battesimali. Da una fede accettata come prolungamento, sviluppo, naturalezza.
L'azzurro di Mario era l'Italia.
Quella che ci fa sentire uniti, esultare, scioglierci in un abbraccio. Quella della ricostruzione, dell'avvenire. Era, certo, anche ordine. Una schiettezza disarmata. Perché la divisa, più che disciplina, indicava sacrificio.
Gli occhi di Mario ne erano consapevoli. Ecco perché parevano rovesciarsi all'indietro, e quella serenità aperta, spalancata, si venava di dolore.
Gli occhi di Mario non erano intelligenti, erano perforanti. Ma solo chi possiede un cuore, un cuore colmo di secoli, può lasciarsene trafiggere.
da Pablo Trincia uno dei pochi giornalisti che si sta occupando , dopo il caso #veleno che ne parla seriamente
Leggete tutti ( e noi sardi dovremo rileggere , soprattutto sindaci che hanno in palato i servizi sociali e i servizi sociali stessi ) questa storia i un suicidio avvenuto lo scorso anno in Sardegna. Un nuovo caso molto controverso in cui sono coinvolti professionisti legati a Claudio Foti e al direttivo “Rompere il Silenzio” (#Bibbiano#Veleno) . che trovate o sotto se avete stomaci forti oppure qui https://bit.ly/2YqJCL5
L'unico cosa che mi sento di fare è che : questi sono pericolosi , oltre che criminali , come criminale ed in malafede è che finanza tali associazioni( M5 ) e chi senza curarsi \ preoccuparsi dei loro precedenti ( Pd gli affida e gli da in appalto incarichi cosi delicati ) . Ma soprattutto , se dovesse risultare vero , cio che riportano alcuni siti internet
E' giallo sul curriculum di Claudio Foti, lo psicoterapeuta considerato un ‘guru’ del settore e direttore del centro Hansel e Gretel, indagato per i presunti affidi illeciti dei sui servizi sociali della Val d’Enza. Foti, infatti (finito prima agli arresti domiciliari, ora con obbligo di dimora a Pinerolo per abuso d’ufficio), non risulta laureato in Psicologia, ma solo in Lettere all’Università di Torino (titolo conseguito nel 1978). Nessuna laurea nelle materie della psiche dunque, ma solo delle «maratone e gruppi di psicodramma» e un «tirocinio in qualità di psicologo», all’interno del «servizio di Neuropsichiatria infantile dell’Ospedale Maggiore della Carità di Novara». Eppure il professionista è iscritto all’albo regionale degli Psicologi del Piemonte dal 1989.
[....]
Ma la deontologia professionale di questa gente, che si fregia del titolo di psicologo che cos'è ? Adesso la storia
Ecco quello che a causa lavoro e problemi di spostamenti ( non ho patente ne macchina quindi ho bisogno di qualcuno che mi accompagni per le tappe fuori paese ) sono riuscito a vedere dell'edizione Bookolica di quest'anno .
Festival itinerante che si divide fra Tempio -Bortigiadas e Orani ( museo Nivola ) e Torralba ( nuraghe santu antine ) dove si cncluderà il 30 luglio ( prima località ) e il 4 agosto ( nella seconda ) .
Dopo il bellissimo e poetico film indipendente avvenuto il 24\7\2019
seguito dal dibattito con la regista ed uno degli attori .
Invece d'ieri ( non ho sono andato a quella del pardo pomeriggio che vedeva la proiezione dei corti di Luca Ferri perchè avendo visto i trailler non mi piace tanto quel tipo di cinema sperimentale ) ho visto nel primo pomeriggio un eccellente ( ad avercene avuto prof di filosofia cosi alle superiori ) dibattito filosofico su un lato , secondo me e secondo gli autori di questa serata , quello della sua concezione artistica poco affrontato di Fredich Nietzsche. Infatti il dibattito era intitolato appunto : << la presenza degli idei , filosofia e mito i F.Nietzsche e Walter F. Otto tra verità e bellezza >> Daniele Carbini ( filosofo mugnaio vedere mia intervista su queste pagine ) dialoga con il filosofo Francesco Cattaneo .
Dopo cena la proiezione ( peccato che per problemi di diritti non sia stato tramesso tutto il film, per fortuna c'è lo streaming in rete , ma solo la parte a cui ha collaborato l'autore presente in sala a presentare i suoi ultimi lavori in particolare l'uomo alla finestra , Lorenzo Mattiotti ) Peur(s) du noir Aka Fears of the Dark 2007 seguita dalla presentazione - dialogo di Mattiotti con Jonny costantino , peccato troppo prolissa per veri esperti ed appassionati di fumetti , anche se interessantissima per chi vuole conoscere ed ( il mio caso approfondire ulteriormente ) il mondo creativo dei fumetti , in particolare del , Graphic Novel è mancato un dibattito con il pubblico .
Poi il secondo evento del dopo cena il reading concerto con l'ottimo pianista Mario Ganau e l'ottima attrice Michela Atzeni che hanno interpretato dei pezzi dell'opera il grido di Antonio Moresco
ma andate a cagare sciacalli ed imbecilli e qui mi fermo per non abbassarmi al vostro infimo livello. Va bene avere dubbi perchè ancora
Ci sono ancora dei punti oscuri nella terribile vicenda del vicebrigadiere Mario Cerciello Rega, ucciso ieri da due americani con 8 coltellate in via Cossa a Roma. Zone d'ombra che purtroppo, anche se chiarite, non potranno riportare indietro le lancette e cancellare il drammatico epilogo. La richiesta di aiuto. Sergio Brugiatelli, l'uomo a cui i 2 americani tolgono il borsello per poi ricattarlo, a chi si rivolge per segnalare di essere vittima di estorsione? L'Arma dei carabinieri risponde al quesito sostenendo che l'uomo ha fermato una gazzella dei carabinieri di Monteverde e che i militari avrebbero diramato la notizia a tutte le pattuglie della zona. Fonti non ufficiali sostengono che la richiesta di aiuto per l'estorsione sia arrivata in via informale al collega del vicebrigadiere ucciso.
La telefonata agli americani. Da quale cellulare Brugiatelli ha chiamato il suo, in mano ai due americani? I termini dell'estorsione a chi sono stati spiegati? A Brugiatelli o a qualcuno che gli ha prestato il cellulare per poter chiamare il suo? Nel decreto di fermo dei due americani questo passaggio non è chiarito. Versioni non ufficiali e dunque non confermate dall'Arma dicono che la chiamata al cellulare di Brugiatelli potrebbe essere arrivata da una donna. L'intervento dei due carabinieri. All'appuntamento fissato dagli americani per restituire il borsello in cambio di 100 euro i due militari arrivano in borghese dalla stazione Piazza Farnese dove prestano servizio. Hanno raccolto la segnalazione dei colleghi di Monteverde via radio? Se sì, hanno comunicato che stavano intervenendo da soli per risolvere la controversia? Una volta arrivati e qualificatisi, cosa è accaduto prima che l'americano tirasse fuori il coltello? E dopo? L'equivoco sulla nazionalità. Alle 4 e 2 minuti del 26 mattina al 112 arriva la chiamata con la richiesta di soccorsi per un carabiniere ferito a terra. Viene fornita una descrizione dei due aggressori: "trattasi di nordafricani. Alti 1 metro e 80, uno indossa camicia viola, uno a scacchi con capelli mesciati. La vittima è carabiniere ferito con 7 coltellate più una al cuore". A segnalare una nazionalità errata è la voce che chiama il 112 o l'errore è del militare sopravvissuto che ha chiesto aiuto a un passante? ma qui si piscia fuori dal vaso s'esagera Infatti
«Cosa ci nascondono?»: i sovranisti non credono alla confessione dell’americano sul carabiniere ucciso
Non crediate di farla così facilmente ai sovranisti. Anche se un americano ha confessato di aver ucciso con otto coltellate il carabiniere Mario Cerciello Rega, loro non ci credono. Perché l’americano è bianco, quindi è il colpevole perfetto per nascondere tutti i crimini degli immigrati.
«Cosa ci nascondono?»: i sovranisti non credono alla confessione dell’americano sul carabiniere ucciso
E così, con l’acutezza tipica del sovranista, loro semplicemente NON ci credono: “Hanno rimediato un reo confesso ‘bianco’ in poche ore perché temono seriamente la ribellione delle forze dell’ordine”, dice ad esempio Maria Grazia nei commenti del Giornale, perché è evidente che se il colpevole non è nero allora è tutto un complotto. Anche Silvia non si convince e per Lello è tutto troppo strano: una tragedia che faceva loro orrore come il cacio sui maccheroninon può essere rovinata così.
C’è troppo che non va in questa storia: prima dicono che sono nordafricani e ci prepariamo tutti i bannerini sull’immigrazione come invasione da mettere nel profilo e poi ci tolgono tutto quando abbiamo già pubblicato. Si tratta per forza di un complotto.
Hey, ma un americano è un afroamericano!1!
Ma c’è anche chi non si rassegna. Ad esempio c’è Richard, che non a caso ha la palma di fan più attivo nei commenti della pagina, il quale capisce subito al volo che qui qualcuno ci sta giobbando con le parole: “Americani nel senso di afroamericani”, spara, anche se il ragazzo che ha confessato l’omicidio è bianco e biondo.
E anche Annamaria non è tipa da lasciarsi fregare facilmente: “Americani? E’ un parolone… Studenti? Ma come sono capaci di accomodare gli articoli! Girano sempre la frittata per distorcere la realtà, ma noi non siamo mica idioti!“. No, no, si vede a prima vista.
Il migliore di tutti però resta Marco Gervasoni, che non a caso insegna Storia contemporanea all’Università del Molise e Storia comparata dei sistemi politici all’Università Luiss di Roma. Lui l’ha capito subito che “difficilmente i media mainstream ci diranno quel che è accaduto”, perché “in Germania c’è un accordo tra i giornali per nascondere i reati commessi da immigrati” (il che è falso, ma non importa).
Oddio, il fatto che l’americano abbia confessato dimostra che c’è poco, pochissimo da nascondere in questa brutta storia in cui è morto un innocente che aveva soltanto la colpa di svolgere il suo lavoro. Nel senso che grazie alla confessione possiamo tranquillamente dare per assodato che a questi di chi è morto non importa nulla: importa solo di trovare qualcuno su cui riversare il proprio odio.
I fiori davanti alla stazione Farnese dei carabinieri dove prestava servizio Mario Cerciello Rega
anche se è un giornale vicino al pd stavolta repubblica ha ragione e concordo con il titolo
“Bestie straniere” e “lavori forzati”. Sul carabiniere ucciso propaganda sovranista senza freni I politici sparano subito le loro sentenze. Salvini inventa pene non previste, Di Maio chiede che i responsabili siano espulsi, Meloni batte tutti: "Basta far approdare animali". E l'onda web segue: "Colpa di Carola"
a chi mi manderà insulti , a chi si rimuoverà dai miei contatti social o smetterà di ricevere gli aggiornamenti del blog . dico solo questo Essere soddisfatti della verità che emerge non potrà mai oltraggiare la vittima quanto lo sciacallaggio attuato con la menzogna. Anzi, proprio il contrario. Mi trova infatti d'accordo
La soddisfazione che non fossero neri, africani e arrivati con i barconi ma bianchi, americani e arrivati con un volo di linea, sta mettendo un pelo in ombra la questione di un poveraccio ammazzato per niente.
Quel sorriso gongolante stona ai funerali, ve lo assicuro.
"Le parole sono importanti", diceva Nanni Moretti a bordo piscina, in Palombella Rossa. Scusate se lo ripeto ma in tempi in cui : << (.... ) Mio fratello vede tutto e il suo occhio non distingue\mio fratello vede tutto \ma il ricordo si confonde\urlano teorie\ rincorrono morali\la propaganda vince \con frasi sempre uguali \ Mio fratello ha rinunciato ad avere un'opinione\mio fratello ha rinunciato \ in cambio di un padrone \che sceglie al suo posto e che non può sbagliare \perchè ormai nessuno\ lo riesce a giudicare (....) >> ( cit ModenaCityramblers in oltre la guerra e la paura ) è ancora a ttuale
Lascio la parola al bellissimo articolo di DI CONCETTO VECCHIO su repubblica del 26\7\2019
Quelle che usiamo dicono quasi tutto di noi. Alle 9,10 di ieri, quando le agenzie hanno battuto da un quarto d'ora la notizia dell'uccisione del vicebrigadiere Mario Rega Cerciello, il ministro dell'Interno Matteo Salvini twitta: "Caccia all'uomo per fermare il bastardo, lavori forzati in carcere finché campa".
Ora, i lavori forzati non sono ancora previsti dal nostro ordinamento, né, in quel momento, è ancora chiaro chi sono gli assassini che hanno stroncato la giovane vita di un uomo che stava svolgendo il proprio dovere di servitore dello Stato, ma Luigi Di Maio, per non essere da meno di Salvini, dice, come recitando uno slogan orecchiato: "Se sono stranieri devono scontare il carcere a casa loro". E perché non in un penitenziario italiano?
È una giornata che ricorda un po' la tragedia del ponte di Genova. I populisti al governo non pesano le parole, non mostrano senso dello Stato, che sarebbe quello di assicurare quanto prima alla giustizia l'assassino.
"Bestie!" scrive sui social Giorgia Meloni, leader di Fratelli d'Italia. "L'Italia non può essere punto di approdo di certe bestie, spero questi animali vengano presi e marciscano in galera". Al Giornale Radio delle 11 Salvini chiama gli assassini "i due bastardi".
La ministra della Difesa Elisabetta Trenta scrive: "Tolleranza zero per i delinquenti". Persino una figura moderata come il sottosegretario M5S Stefano Buffagni su Facebook scrive senza continenza: "Tolleranza zero per questi vigliacchi assassini! Questi criminali devono marcire in carcere!". "Bastardi, vi troveremo!", dichiara Licia Ronzulli (Forza Italia). Anche Ignazio La Russa li chiama "bastardi".
Durante la Prima Repubblica, chi era al governo sapeva che la politica era un continuo esercizio di pedagogia. "La Dc", ha scritto una volta Marco Follini, "sapeva che doveva apparire più moderata" della pancia del Paese, invece che vellicarne gli istinti.
Tra i pochi sembra ricordarsene il premier Conte: "La morte del giovane vice brigadiere Mario Cerciello Rega è una profonda ferita per lo Stato. Faremo il massimo per assicurare i responsabili alla giustizia. La mia vicinanza alla famiglia e all'intera Arma dei Carabinieri" twitta. E il presidente della Repubblica Sergio Mattarella: "Nel confidare che si arrivi rapidamente alla cattura dei criminali responsabili, desidero esprimere a lei, signor comandante generale, e all'Arma dei Carabinieri, la mia solidale vicinanza, rinnovando i sentimenti di considerazione e riconoscenza per il quotidiano impegno degli operatori dell'Arma a servizio dei cittadini".
Il comico Luca Bizzarri ha fatto un tweet che merita di essere riprodotto: "Sono figlio di un carabiniere. Un abbraccio immenso a chi soffre. Spero che l'assassino di stanotte sia arrestato, che sia processato in tempi brevi, che gli sia assicurata una difesa, che venga giudicato secondo la legge, che sconti la sua pensa in un carcere, non in una topaia".
Nel tardo pomeriggio trapela la notizia che sono stati arrestati due americani. Daniele Capezzone, figura di riferimento dei sovranisti, che in mattinata aveva accusato "i giornaloni di non dire la verità sul fatto che si tratta due nordafricani", cancella il tweet e ne scrive un altro: "Mentre stamattina gli identikit riguardavano possibili responsabili nordafricani dell'omicidio del carabiniere, ora pare che i maggiori sospettati, in stato di fermo, siano due cittadini americani".
Francesco Storace è sicuro del fatto che c'è chi brinda "perché sono stati fermati due americani". Per tutto il giorno, nei commenti ai tweet dei capi populisti, si insulta Carola: "È colpa sua se questi vengono in Italia". Salvini ritwitta un ragazzo che gli aveva dato "del lurido coglione", e rilancia quello di un tizio che ipotizza che l'assassino si possa essere difeso "dalla prepotenza delle forze dell'ordine". Un ministro dell'Interno che perde il suo tempo così. L'Italia, oggi.
non aggiungo altro perché due parole sono troppo e una è poco
non si è però fermata davanti alle difficoltà anagrafiche. Così - informandosi nelle diverse comunità di appassionati - è iniziata la sua avventura nel mondo del restauro. "Guardando su internet - spiega Giovanna - ho capito che forse sarei stata in grado di farlo anche io: posterò i miei progressi del restauro su Youtube sperando possa essere d'aiuto a qualcuno". Negli spazi di Officine Zero, a Roma, Giovanna ha trovato un posto per portare avanti il suo hobby e continuare così l'avventura nel mondo del restauro delle auto d'epoca. Ora Tutti gli appassionati di Fiat 500 in rete la conoscono già e hanno già visto i video di Giovanna Parascandolo, della sua officina Nanna’s Garage, e delle fasi del restauro della sua Cinquecento e già molti hanno espresso commenti favorevoli o contrari. Infatti viene da chiedersi Si tratta di una giovane e intraprendente appassionata restauratrice o di una mera trovata pubblicitaria di quello che potrebbe essere una trasmissione sul restauro delle auto d’epoca in stile “Affari a quattro ruote“?
Io , da profano ( ho rapporto particolare d'odio e di amore con le auto e i mezzi a motore ma questa è un'altra storia che prima o poi racconterò ) posso dire che quando c'è la passione c'è tutto . e che anche questa è arte .
E non avendo ne passione , infatti quando qualcuno ( amici , conoscenti , familiari ecc ) parla di cavalli \ cilindrate me ne esco con una battuta : << ma dove li metti tutti sti cavalli , spendi un capitale in biada per dargli da mangiare . Vi lascio a questi tre video
di cui l'ultimo è preso dall suo account fb ufficiale e mi trova d'accordo con dice : << “Sono cresciuta con l’idea di non essere adatta a capire determinate cose. Poi mi sono resa conto che è talmente divertente che è impossibile che non piaccia a nessuna ragazza” >>Giovanna Parascandolo ha scoperto la passione per la meccanica quando pur di avere una 500 d'epoca, ha deciso di ripararne una completamente da sola. Sul suo canale YouTube documenta tutti i passaggi del restauro per avvicinare le donne al mondo delle auto, che non è solo “roba da maschi”